La première soirée publique de l’Association Arc-en-ciel s’est déroulée le 5 septembre dernier au Temple aux Valangines. Après une célébration œcuménique, qui a réuni une trentaine de personnes, le conférencier Pierre Bühler était l’invité du jour. Ce dernier nous a proposé sa réflexion sur le thème de l’inclusion des personnes LGBT dans les Églises, qu’il invite à jouer le rôle de « ferments de la société ».
La conférence a marqué les esprits et a valu à l’association ses premiers articles de presse.
Protestinfo et Protestinter précisent, dans un article disponible ici :
Une théologie inclusive ne suffit pas. Les LGBTI veulent être accueillis […] Les Eglises sont appelées à être les ferments de la société, mais la réalité montre que souvent ce sont plutôt des freins», a constaté le théologien Pierre Bühler, mardi 5 septembre au temple des Valangines à Neuchâtel. Il était invité de la première soirée publique de la nouvelle Association LGBTI et alliés «Arc-en-ciel». En automne 2016, le groupe chrétien Arc-en-ciel avait vu le jour et les responsables ont eu le désir d’en faire une association pour pouvoir organiser des événements publics promouvant l’inclusivité au sens large.
Enfin, Arcinfo.ch nous a fait l’honneur d’un article d’une demi-page dans les quotidiens L’Express et l’Impartial du 7 septembre 2017, que vous retrouvez ci-dessous ou sur leur site internet (pour les abonnés payant).
Les journaux titrent :
Une nouvelle association pour appuyer les gays et lesbiennes […] En automne 2016, le groupe chrétien Arc-en-ciel décide de créer un groupe dans le canton afin que les LGBTI puissent s’exprimer librement, «vivre un temps d’Eglise», pour reprendre l’expression d’Alice Duport, pasteure à l’Eren et conseillère synodale. Comme tout bon paroissien qui se respecte. «On s’est réuni une fois par mois durant un an. Avec comme objectif prioritaire que tout se passe dans la discrétion, histoire de garantir la confidentialité des participants. Aujourd’hui, la nouvelle association présidée par Cécile Guinand entend davantage être présente sur la place publique.
Article dans L’Express du 7 septembre 2017 (cliquez pour agrandir) :
